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Le Cavalier Bleu fait son sprint final

La Nationale 1 était tombée dans le « groupe de la mort » avec Asnières qui a dominé les débats, Strasbourg ainsi que Châlons-en-Champagne et autres Noyon. Mais après quelques victoires inattendues sur le papier, le Cavalier Bleu était mathématiquement sauvé à deux rondes de la fin !
L’équipe de jeunes était renforcée cette année par le grand maître grec Pavlidis et le retour de  Hayk Mirimanian en course pour un résultat de maître (une « norme ») jusqu’à deux rondes de la fin. C’est donc avec une bonne ambiance et du travail que l’équipe a terminé en toute quiétude contrairement à la saison passée où elle a évité la descente à un point de départage !

La Nationale 3 monte en Nationale 2 ! Après une contre-performance en début de saison contre Meaux, finalement les derniers du groupe, et grâce à deux matches nuls de St-Just _ un candidat à la montée que le Cavalier Bleu avait  battu 5-2 en début de saison _ la N3 avait son sort entre ses mains : il fallait absolument gagner les deux derniers matches pour monter  et terminer 1er seul ou premier ou au départage.
Finalement, St-Just a de nouveau fait une contre-performance et Drancy a gagné haut-la-main le samedi contre Noisiel 4-1 (8 échiquiers, les nulles ne comptent pas dans le score final).

Tout s’est joué contre Livry Gargan dans le dernier match. Le Cavalier Bleu a fait appel à deux anciens pur-sang : un ancien du club et frère du président Manuel Casas : Alexandre Casas, formé au club dès les années 1970… mais qui n’avait pas joué depuis vingt ans sauf deux parties la saison dernière lors de la fameuse « remontada ». Et un autre Alexandre, Alexandre Bellas, de niveau international et qui n’avait pas joué depuis vingt ans. Tous deux ont gagné montrant leur profonde compréhension du jeu.
Score final : 5-1 pour Drancy avec un point précieux de Rémi Said, un jeune formé par le fondateur du Cavalier Bleu, Jean Durpoix.
La montée est due à un esprit d’équipe, mais aussi à deux nouvelles recrues habitant depuis peu à Drancy et qui moissonnent dans les échiquiers du bas : Rodolphe Feger et Emmanuel Sabathié.

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